Il faut raisonner « en rendement filet »
La France perd du terrain sur son cœur de marché, le filet de poulet. Jean-Marc Aubret, directeur commercial de Techna, propose de raisonner rendement en filet plutôt qu’en poids du vif. « Pour une organisation de 400 000 poulets par semaine, c’est un million d’euros de différence par an », chiffre-t -il. Passer d’un poulet de 1,85 kg abattu à 33,5 jours en moyenne au poulet nord-européen de 2,2 kg abattu à 36,5 jours augmenterait le coût aliment de 20 euros/t mais génèrerait un bonus de 130 euros/t de filet.