Gros bovins : plus ferme en réformes laitières
Gros bovins : Les apports mesurés en bovins de boucherie s’avèrent relativement équilibrés à la demande des abattoirs. Si le commerce reste calme en femelles de races à viande, il apparaît un peu plus suivi en races mixtes et laitières. Peu évolutif, le marché joue également la carte de la stabilité en jeune bovin. Les cours sont dans l’ensemble reconduits. Quelques ajustements à la hausse sont relevés en réformes laitières.
Veaux : Le manque de fluidité persiste dans le commerce des petits veaux laitiers. Les effectifs, quoique mesurés, s’écoulent avec difficulté pour les sujets très jeunes et maigres. Les intégrateurs restent sélectifs à l’achat, limitant le nombre de mises en place. Ils continuent de faire pression sur les prix, avec plus ou moins de succès selon le marché considéré.
Ovins : Moins compétitif en aval de la filière, face aux marchandises d’origine anglaise notamment, l’agneau de qualité ordinaire s’écoule moyennant de sensibles concessions tarifaires sur certains marchés. Pour les sujets haut de gamme, en revanche, les abattoirs restent intéressés, ce qui permet une meilleure résistance des prix.