Fonterra : de nouvelles analyses écartent le risque de botulisme
De nouveaux examens, réalisés par les autorités néo-zélandaises, ont révélé que la bactérie qui a contaminé des lots de la coopérative laitière Fonterra, la plus importante du pays, n’était pas Clostridium botulinum, contrairement à ce qui avait été avancé précédemment. La bactérie trouvée est Clostridium sporogenes, a ajouté le ministère. S’il peut altérer la qualité des produits, ce micro-organisme ne représente pas un danger sanitaire. La contamination n’avait d’ailleurs fait aucune victime déclarée, mais elle a sérieusement écorné l’image de la Nouvelle-Zélande, réputée pour la qualité de ses produits - notamment en Chine, où le secteur laitier local est discrédité par des scandales alimentaires à répétition.