Fin programmée des fish and chips, selon des chercheurs
Des scientifiques de l’Université d’Exeter (sud de l’Angleterre) alertent, dans la revue scientifique Nature Climate Change que le réchauffement des mers pourrait compromettre le traditionnel fish and chips britannique. Les effectifs d’aiglefins, de plies ou encore de limande-soles servant à cette friture seraient en nette diminution en mer du Nord d’ici 50 ans avec une augmentation attendue de 1,8 degré de la température de l’eau. Cette mer s’est réchauffée quatre fois plus vite que la moyenne mondiale au cours des quatre dernières décennies, soulignent-ils.