Fin du dossier temps de pause chez Doux
Le tribunal des prud’hommes de Quimper a condamné mardi le groupe volailler Doux à payer aux derniers 260 employés les temps de pause suspendus entre 2004 et 2010, qui représentent jusqu’à 6 000 euros de salaires, a-t-on appris mardi de source syndicale. A l’audience en mars dernier, la CGT avait accepté le tableau des indemnisations proposé par la direction de l’entreprise pour éviter à cette dernière de contester en appel.