Bernard Chevassus-au-Louis
« Aujourd’hui, les terres cultivées valent plus que les prairies, qui valent plus que les forêts. Mais, si on intègre les services rendus, cette hiérarchie peut s’inverser. Si bien que cela légitime une évolution des aides publiques, notamment dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, en faveur de la conservation des prairies. » Son rêve le plus cher pour protéger les milieux ? « Voir le monde agricole décider d’être un des grands acteurs du développement de ce capital écologique. »