Angéliques.
Au cours de l’assemblée générale de l’UNGCFL (union nationale des grossistes en fruits et légumes), la semaine passée, son président, Bernard Piton, à propos du prix après vente, très contesté par les producteurs de légumes, a réaffirmé sa volonté de défendre ce qu’il considère comme un mode de valorisation des produits et qu’il n’entendait pas « se faire donner des leçons par des politiques qui ne s’y connaissent pas et couvrent des pratiques qui, pour être apparemment angéliques, n’en sont pas moins déviantes ». Tout est dans le choix des adjectifs.