26 % d’anomalie dans la saucisserie fraiche

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 23 juin 2015 - Par

Rédaction Réussir

Sur 727 établissements contrôlés (ateliers de découpe et de transformation des GMS, ateliers artisanaux et semi-industriels) l’an dernier, la DGCCRF a constaté 26,5 % d’anomalie dans la composition des produits à base de viande et des produits de charcuterie, prononçant 151 avertissements et adressant 36 procès-verbaux. Parmi les principales anomalie constatées : la présence d’espèces animales non annoncées ou non autorisées au regard des usages de certains produits (porc dans 11% des échantillons, volaille dans 5% et du cheval pour 3% dans de la charcuterie d’âne), ou des traces de colorants interdits dans des merguez essentiellement. « Plus d’une merguez sur quatre contenait encore du porc non annoncé », souligne la DGCCRF. Par ailleurs l’administration indique que « les contrôles ont permis de mettre en évidence la commercialisation de produits non conformes fabriqués dans d’autres pays de l’Union européenne ».

Rédaction Réussir

Actu