2005 commence dans la douleur
La nouvelle année a mal démarré pour les foirails. Sans donner de chiffres, la FMBV parle d’un triste mois de janvier pour la quasi-totalité des marchés. « On sent les effets de la baisse de production bovine», indique sa secrétaire générale, Marie Onufryk. Même si le mois de février semble un peu meilleur, l’activité pâtit d’une rétention d’animaux à la ferme. « L’ambiance sur les marchés au cadran est révélatrice, ajoute-t-elle. Les éleveurs ne sont visiblement pas pressés de vendre. Ils ont du foin, une trésorerie correcte et les cours sont bien orientés».