Une communication plus agressive
Tous les participants étaient d’accord. La communication doit occuper le terrain : « Il ne faut pas être en réponse mais en attaque pour souder les éleveurs. Nous faisons un métier et devons montrer que nous en sommes fiers. Les arguments existent, mais on ne s’en sert pas » a déclaré Dominique Huet, présidente des Fermiers Loire et Maine. L’argument des puits de carbone doit être développé. Enfin, les Néo-Zélandais ont tiré les premiers et ont eu le dernier mot. Personne ne sait sur quoi ils se sont basés pour leurs analyses, mais eux ont eu le mérite de le faire savoir ! Un exemple à suivre ?