Le Pouvoir algérien veut des prix corrects
M. Bouguedour, directeur des services vétérinaires algériens, a reconnu que les prix de la viande locale sont à des niveaux «plafonds», mais a assuré que le souci du gouvernement est de voir le citoyen approvisionné à des prix «corrects», rapporte La Nouvelle République. Il relie la valse des étiquettes à deux facteurs : la fuite du cheptel vers les pays voisins et la rétention. Tout en tolérant l’exportation de viande, ce responsable plaide pour un renforcement des contrôles aux frontières. Pour modérer les cours, le ministère étudie la possibilité d’importer de la viande fraîche à partir d’Europe. Par ailleurs, des opérateurs privés s’apprêtent à acheter en Argentine et en Uruguay de la viande ovine congelée