Le bio local, c’est possible
L’Interbio des pays de la Loire, face aux acteurs doutant de la possibilité de se fournir chez des producteurs locaux, a enquêté sur les volumes travaillés par la restauration collective en Pays de Loire et converti ces besoins en surfaces agricoles. Les résultats ont surpris les enquêteurs. Pour la ville de Mayenne (53) qui traite 1 100 couverts par jour, les besoins en betterave rouge, concombre, pomme de terre, salade verte, céleri rave, tomate de saison et poireau ne nécessitent qu’un hectare.