La Confédération paysanne
La Confédération paysanne n’est pas contente ! « Longtemps chapotée (ndlr : ou plutôt chapeautée) par les Haras nationaux, la filière cheval doit faire face à leur réforme, obligeant ces établissements à une rentabilité, incompatible avec la notion de service public », affirme-t-elle dans un communiqué. Si visiblement le syndicat se soucie peu du déficit de l’Etat, redéfinissant au passage la notion de service public, il n’en reconnaît pas moins qu’une restructuration soit nécessaire. Contestant la position « hégémonique » de la Fival, la Conf. demande la mise en place d’une véritable interprofession et d’ici là indique qu’elle apportera son soutien à tous les éleveurs, marchands et étalonniers qui refuseront de verser les cotisations volontaires obligatoires.