Ils ont dit
- Gérard Poyer, président de la Fédération française des commerçants en bestiaux (FFCB) : «Parler de relance ne correspond pas à une substitution de nos exportations d'animaux jeunes par l'engraissement. Ce serait une erreur de se couper de nos marchés traditionnels, où nos produits sont reconnus et participent à la valorisation de la production des éleveurs».
- Denis Sibille, président d'Interbev : «Toute importation de viande bovine des pays tiers sera surveillée de très près par les producteurs. Il est nécessaire d'assurer un approvisionnement français ou au minimum européen».
- Dominique Langlois, nouveau président de la FNICGV : «S'il n'y a pas de production, on ira trouver la viande ailleurs pour faire tourner nos outils».