Cap export : «un effet d'annonce»

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Publié le 15 juin 2006 - Par Rédaction Réussir

Dominique Amirault, originaire de Touraine, a pris les rênes de l'entreprise Soleillou (devenue Soléou), aromatiseur et spécialiste en assaisonnements et condiments de style provençal (10 M Eur de CA), en 2003. Depuis, il affirme clairement son projet de regrouper plusieurs affaires complémentaires. Il confie être sur plusieurs dossiers et a bon espoir de conclure une opération d'ici 2007. A l'export, Soléou participe à une filiale partagée à New-York avec 4 et bientôt 5 autres entreprises : Borde (champignons), Delouis (mayonnaises), Cantreau (boudoirs), la Biscuiterie de l'Abbaye et enfin Wattwiller (eaux). Dominique Amirault a testé sur son entreprise le programme gouvernemental Cap export et se montre franchement déçu : «il n'y a rien de nouveau : c'est un effet d'annonce avec moins de moyens qu'avant. Je trouve ça désolant», commente-t-il.

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