Anti-spéculation.
Le groupe Stalaven ouvre son capital à ses salariés à hauteur de 3 %. « Ce ne sont pas, à mon sens, les entreprises qui vivent au gré des cotations boursières qui assureront l’avenir », insiste Thierry Meuriot, président du directoire. « Ce type de schéma économique est voué à l’échec, car il repose sur le seul enrichissement des actionnaires, quelles que soient les conséquences sociales, humaines et environnementales ».