Hervé Drouvin dans la Somme : « les pulpes de betteraves surpressées moins intéressantes à moyen terme »

« Installé à Airaines dans la Somme, j’engraisse 200 jeunes bovins par an, à 80 % Charolais, et je suis polyculteur (betteraves sucrières, céréales et colza). Les pulpes de betteraves surpressées entrent historiquement dans les rations d’engraissement et permettent d’avoir un coût de ration plus faible qu’à base d’ensilage de maïs.