Du blé traité pour augmenter son pH et l'enrichir en azote
Laurent Gantois, éleveur dans les Vosges, engraisse des jeunes bovins avec une ration pratique et économique, alliant du blé traité par Maxammon et un aliment complémentaire du commerce.
Laurent Gantois, éleveur dans les Vosges, engraisse des jeunes bovins avec une ration pratique et économique, alliant du blé traité par Maxammon et un aliment complémentaire du commerce.

Laurent Gantois, éleveur, et Rémi Olivier, d’Alltech. La ration d’engraissement est composée de 68 % de blé traité avec Maxammon et 32 % d’un aliment complémentaire du commerce, avec de la paille alimentaire à volonté.
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S. Bourgeois

Après deux à trois semaines, le silo peut être débaché et sa conservation est d’au moins un an.
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S. Bourgeois

Le blé contenait 11 à 13,5 % de protéines par kilo de matière sèche à la récolte. Après traitement, il titre 21,6 %.
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S. Bourgeois

Les animaux sont très calmes. Il n’y a aucun problème d’appétence pour le blé traité dans le mélange, même si une odeur d’ammoniac est perceptible au niveau du silo.
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S. Bourgeois
Installé à Frénois, dans les Vosges, Laurent Gantois dispose d’un bâtiment d’engraissement de 250 places, où il engraisse en régime sec des jeunes bovins et des génisses charolaises de 3 ans. Depuis l'an dernier, l’éleveur a opté pour un concentré unique pour tous les types d’animaux, alliant 68 % de blé traité avec Maxammon et 32 % d’un aliment complémentaire du commerce (composé notamment de pulpes de betteraves, luzerne deshydratée, tourteaux divers, vitamines et minéraux). De la paille de qualité est toujours à disposition.