« Des index génomiques de plus en plus pertinents »
Philippe Boulesteix de l’Institut de l’élevage, dresse un premier bilan de quatre ans de publications d’index génomiques pour les trois races concernées, Blonde d’Aquitaine, Charolaise et Limousine.

Où en est-on sur la publication des index génomiques ?
Philippe Boulesteix – En Charolaise, Limousine et Blonde d’Aquitaine, la première mise à disposition d’informations génomiques remonte à fin 2015. À raison de deux indexations annuelles, nous arrivons à présent pour ces trois races à huit indexations successives pour lesquelles des résultats d’évaluations génomiques sont désormais disponibles. L’indexation génomique concerne la plupart des index Iboval, de la naissance au sevrage mais également ceux relatifs à l’indexation sur la production de jeunes bovins en ferme, soit un maximum de 13 index potentiellement récupérables.
Comment ont évolué les effectifs de taureaux publiés avec des index génomiques ?
P. B. – En 2015-2016, la diffusion a porté sur un nombre restreint d’animaux.