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En 2023, le PNR Aubrac continue de structurer son territoire

Mercredi 25 janvier, les élus du Parc naturel régional de l'Aubrac, réunis en conférence de presse, sont revenus sur une année 2022 dynamique et ont présenté les grandes lignes de 2023. Bernard Bastide, président du Parc de l'Aubrac, Vincent Alazard, Marc Guibert et Christine Sahuet, vice-présidents, ont parlé d'une seule voix de leurs projets pour ce territoire.

Mercredi 25 janvier, les élus du Parc naturel régional de l'Aubrac, réunis en conférence de presse, sont revenus sur une année 2022 dynamique et ont présenté les grandes lignes de 2023. Bernard Bastide, président du Parc de l'Aubrac, Vincent Alazard, Marc Guibert et Christine Sahuet, vice-présidents, ont parlé d'une seule voix de leurs projets pour ce territoire.
Mercredi 25 janvier, les élus du Parc naturel régional de l'Aubrac, réunis en conférence de presse, sont revenus sur une année 2022 dynamique et ont présenté les grandes lignes de 2023. Bernard Bastide, président du Parc de l'Aubrac, Vincent Alazard, Marc Guibert et Christine Sahuet, vice-présidents, ont parlé d'une seule voix de leurs projets pour ce territoire.
© PNR Aubrac

Si le PNR Aubrac, dans sa structuration actuelle est « jeune », il est toujours en pleine construction et essor. En 2022, des outils ont continué d'être déployé, ou sont venus s'ajouter à l'arsenal déjà mis en place sur le territoire du parc : entre la marque Valeurs parc, les nouveaux plans de financement sur les quatre zones Natura 2000 ou encore l'annuaire des producteurs en vente directe, les services du parc n'ont pas chômé. Sans oublier l'événement phare du PNR, la Nuit des burons, qui pour sa sixième édition, a accueilli près de 700 personnes dans sept burons différents. Pour l'édition 2023, il est prévu que de nouveaux burons soient exceptionnellement ouverts au public.

Des outils renforcés
Cependant, comme partout ailleurs, 2022 n'a pas été une année facile pour le PNR Aubrac, fortement impacté par le déréglement climatique et la sécheresse 2022. Malgré une très bonne recharge hivernale en 2021, la sécheresse de l'année 2022 a été extrêmement impactante tant pour les milieux naturels que pour les activités humaines : plusieurs cours d'eau se sont retrouvés à sec, des sources pourtant pérennes se sont taries, mettant en difficulté les réseaux d'approvisionnement en eau potable, les éleveurs et un grand nombre d'activités économiques du territoire. Que ce soit dans les domaines de l'agriculture, du tourisme, de l'eau, des forêts, ou de l'énergie, le parc est un outil pour travailler avec les acteurs locaux à l'atténuation et l'adaptation au changement climatique. Pour les années à venir, le parc veut faire de ce sujet un fil conducteur de son action. En 2023, le parc compte notamment renforcer son action sur les bandes boisées, pour remplacer l'épicéa, qui souffre du changement climatique, par des espèces plus adaptées et plus locales. Un chantier de replantation a été conduit par le parc en 2022 à Curières (Aveyron), 300 mètres linéaires financés par un contrat Natura 2000 ; 400 mètres supplémentaires sont prévus en 2023. De plus, le parc porte le projet « Plantons des haies » financé par le plan de relance et dans ce cadre, quinze chantiers de plantation sont prévus en 2023, mis en oeuvre pour la plupart par le Copage Lozère. Un nouveau programme sera également engagé pour renforcer la résilience des prairies naturelles face au changement climatique à travers la mise en oeuvre de diagnostics à l'échelle d'une ou plusieurs exploitations et la définition de pistes d'actions et d'accompagnements.

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