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VIDEO Robot de traite M2erlin : 25 ha accessibles et 2,5 traites par jour
À l’EARL Laroch, le pâturage est au coeur du système. Le robot M2erlin se révèle compatible avec 70 montbéliardes à l’herbe.
À l’EARL Laroch, le pâturage est au coeur du système. Le robot M2erlin se révèle compatible avec 70 montbéliardes à l’herbe.
Laurent et Stéphanie Laroch sont installés avec leur fils, à Lantenot, en Haute-Saône. Lorsque Sébastien est revenu sur la ferme familiale, le jeune agriculteur a récupéré 240 000 litres de droits à produire. Après 25 ans de traite conventionnelle, les éleveurs étaient tentés par la traite robotisée. Ils avaient néanmoins quelques craintes sur les coûts d’entretien ainsi que sur la qualité du lait. « Et surtout, nous ne voulions pas abandonner le pâturage », précise Laurent Laroch. Pendant une année, Laurent, Stéphanie et Sébastien Laroch ont multiplié les visites. Ils ont découvert le robot M2erlin. Les éleveurs ont finalement été séduits par Fullwood Packo et son revendeur Vitmat (Vitmat 88 : 03 29 94 56 49 - Vitmat 70 : 03 39 27 02 28).
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Des pâtures jusqu'à un kilomètre du robot
Après une année d’utilisation du robot, les résultats se révèlent positifs. La simplicité du robot facilite sa prise en main et sa gestion. Le taux cellulaire est resté stable et l’exploitation a maintenu la qualité du lait livré. Enfin, les vaches se sont parfaitement adaptées. Les montbéliardes disposent de 25 hectares. Les bêtes passent en moyenne 2,5 fois par jour par le robot. « Même dans la parcelle éloignée d’un kilomètre, les vaches sont traites en moyenne 2,2 fois par jour », constate Sébastien.
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Aucune vache à aller chercher
La mise en route s’est mieux déroulée que prévu. « On nous conseillait de limiter le pâturage à la journée. Au bout de quatre jours, nous avons laissé les vaches sortir 24 heures sur 24 », se réjouit Laurent Laroch. La circulation est simple. Aucune porte de tri n’a été ajoutée. Les vaches sont orientées vers la pâture par le robot. Du concentré est, certes, distribué par le M2erlin, mais les quantités n’ont pas augmenté. « C’est surprenant, mais nous ne sommes jamais allés chercher une vache en retard dans les prairies, indique Stéphanie Laroch. Et le troupeau est plus calme qu’avant ! »