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Pink Lady Europe a inauguré son « flagship » à Paris

Le primeur Saint-Denis Primeurs arbore désormais les couleurs de la fameuse pomme. Le résultat d’un partenariat fort

© Philippe Gautier-FLD

Dans la rue du Faubourg-Saint-Denis, dans le Xe arrondissement de Paris, il est impossible de le rater : le magasin Saint-Denis Primeurs, dirigé par Eric Vesque, est « habillé » de la fameuse couleur fuchsia, emblématique de la pomme Pink Lady. Le primeur devient ainsi le deuxième « flagship » de l’association Pink Lady Europe : le premier se trouve à Madrid en Espagne et une prochaine ouverture est prévue en Italie, à Milan ou Rome.

Paris : Saint-Denis Primeurs va s’habiller aux couleurs de Pink Lady

L’association a pris en charge l’ensemble des aménagements mais il ne s’agit pas ici de créer une sorte d’enseigne de distribution comme le confirme Thierry Mellenote, directeur de Pink Lady Europe : « Notre premier objectif, par cette démarche, est de souligner le travail original, parfois décalé, qu’il est possible de mener avec un primeur. N’oublions pas ce que le commerce de détail, avec les grossistes fournisseurs, ont grandement participé au succès de Pink Lady. Aujourd’hui, ce segment représente 20 % des volumes commercialisés. Et la période que nous venons de traverser, avec la Covid-19, a montré l’importance du détaillant traditionnel pour le consommateur ». Pour Eric Vesque, cette inauguration reflète un partenariat fort avec Pink Lady : « Dès le début, il n’était pas question de se limiter à quelques posters ou fanions, mais d’aller vraiment plus loin. C’est une démarche très positive qui valorise le métier de primeur en général ».  

Le « flagship » Pink Lady parisien proposera l’ensemble de la gamme de Pink Lady, en particulier les produits transformés : jus, cidre à la marque issus de partenariat avec des transformateurs reconnus comme Tropicana ou les Jardins d’Ombrie. Le lieu accueillera aussi les nouveaux produits, les nouveaux développement présentés par Pink Lady Europe, mais aussi de l’événementiel. Il sera aussi pour l’association une « tour d’observation » sur les habitudes des consommateurs.

L’idée pourrait aussi être développée dans d’autres grandes métropoles françaises : « Le concept n’est pas extensible à l’infini mais cela est envisageable et renforcerait notre ancrage dans les territoires, souligne Thierry Mellenote, l’important, pour nous est de trouver le primeur prêt à s’engager ».

 

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