« J’ai investi dans une fabrique d’aliments à la ferme et un séchage en grange pour le confort de travail et l’autonomie alimentaire du troupeau de chèvres »
Dans l’Aveyron, Étienne Espinasse a fait évoluer son système alimentaire en remplaçant l’ensilage de maïs par du foin de luzerne séché en grange. Une fabrique d’aliments à la ferme permet de valoriser ses matières premières.
Dans l’Aveyron, Étienne Espinasse a fait évoluer son système alimentaire en remplaçant l’ensilage de maïs par du foin de luzerne séché en grange. Une fabrique d’aliments à la ferme permet de valoriser ses matières premières.

Le convoyeur à chaîne tubulaire traverse la cour et amène les semoulettes d’aliments mélangés jusqu’au distributeur sur rail, au-dessus des tapis.
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D. Hardy

Le foin est chargé deux fois par jour dans le distributeur Calvet monté sur pont roulant.
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D. Hardy

Le séchoir dispose de deux cellules, une cellule de bon foin et une cellule de moins bon. Cela permet de modifier légèrement la ration de base en fonction du stade physiologique.
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D. Hardy

La fabrication d’aliments à la ferme reste facile à programmer.
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Les silos et la fabrique ont coûté 90 000 euros « avant l’inflation » auxquels s’ajoute un bâtiment photovoltaïque qui les abrite.

Le séchoir dispose de deux cellules : une cellule de bon foin et une cellule de moins bon. Cela permet de modifier légèrement la ration de base en fonction du stade physiologique.
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D. Hardy

La fabrique d’aliments est abritée par un hangar photovoltaïque.
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Le convoyeur à chaîne tubulaire traverse la cour et amène les semoulettes d’aliments mélangés jusqu’au distributeur sur rail, au-dessus des tapis.
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Le foin est chargé deux fois par jour dans le distributeur Calvet monté sur pont roulant.
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Le séchoir dispose de deux cellules, une cellule de bon foin et une cellule de moins bon. Cela permet de modifier légèrement la ration de base en fonction du stade physiologique.
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D. Hardy

La fabrication d’aliments à la ferme reste facile à programmer.
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