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Surgreffer, témoignages et conseils

Le changement climatique semble s’accélérer. Toutes aussi rapides sont les évolutions de la consommation de vin. Certaines de ces évolutions sont d’ailleurs engendrées par le climat, comme la recherche de vins plus frais et moins alcoolisés. Elles s’annoncent durables.

Face à ces mouvements, le temps de la vigne est naturellement plus lent. Le surgreffage est un moyen de faciliter l’adaptation par le cépage. En profitant de l’enracinement du cep, il fait gagner du temps.

Plus souvent pratiquée dans les vignobles du Nouveau Monde, cette technique reste marginale en France. Mais elle s’affirme. Des précurseurs l’ont pratiquée et ont dix ans ou vingt ans de recul pour en apprécier l’intérêt.

Bien sûr, il n’est pas ici question de prétendre que le surgreffage va remplacer le classique renouvellement des vignes par des jeunes plants. Plusieurs conditions limitent la pratique du surgreffage. Mais notre dossier veut éclairer ce choix possible parmi d’autres pour résoudre certaines problématiques, alors que l’encépagement promet d’être l’un des points clés des années qui viennent.

 

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