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Pourquoi la Commission européenne ouvre une consultation publique pour évaluer l’Efsa

Dans une consultation publique ouverte jusqu’au 1er avril 2025, la Commission européenne appelle le grand public et différentes parties prenante à évaluer les performances de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) sur la période 2017-2024. 

Atelier pour enfant avec puzzle formant le logo de l'Efsa
La Commission européenne souhaite que ces avis contribuent à « évaluation approfondie » de l’Agence européenne de sécurité des aliments, conformément aux « critères d’évaluation standard » de Bruxelles.
© EC - Audiovisual Service - Frédéric Sierakowski

La Commission européenne a ouvert, le 7 janvier 2025, une consultation publique afin d’évaluer les performances de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) sur la période 2017-2024. Jusqu’au 1er avril 2025, le grand public et différentes parties prenantes sont invités à participer en partageant « leurs données, leurs expériences et leurs points de vue sur la manière dont l’Efsa fonctionne ». La Commission européenne souhaite que ces avis contribuent à l'« évaluation approfondie » de l’Agence européenne de sécurité des aliments, conformément aux « critères d’évaluation standard » de Bruxelles. 

Lire aussi : NGT : l’Efsa en désaccord avec l’Anses sur les plantes de catégorie 1

Quel est le public ciblé par cette consultation publique de la Commission européenne ? 

Dans son initiative de consultation publique, la Commission européenne appelle diverses parties prenantes à participer : ONG, entreprises et l’industrie alimentaire, distributeurs, détaillants, agriculteurs et autres producteurs primaires, universités, organismes de recherche et de technologie, … D’autres agences de l’UE, des organisations scientifiques internationales ainsi que des autorités compétentes des États membres sur l’évaluation des risques sont aussi appelées à donner leur avis, jusqu’au 1er avril 2025.

Lire aussi : Viande cellulaire : pourquoi la Commission européenne considère qu’une interdiction n’est « pas nécessaire » ? 

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