Un bol pour simplifier le travail
Seul sur son exploitation de polyculture-élevage, Didier Lachassagne a investi dans une mélangeuse pour avant tout se simplifier la tâche mais aussi mieux utiliser les fourrages et céréales produits sur son exploitation.
Seul sur son exploitation de polyculture-élevage, Didier Lachassagne a investi dans une mélangeuse pour avant tout se simplifier la tâche mais aussi mieux utiliser les fourrages et céréales produits sur son exploitation.




« Si j’ai opté pour une mélangeuse, c'est avant tout pour simplifier le travail, étant seul sur l’exploitation, puis pour mieux tirer parti des aliments produits sur la ferme », commence David Lachassagne, installé à Givarlais dans l’Allier, et à la tête d’un troupeau naisseur-engraisseur charolais de 200 mères sur 270 hectares (dont 60 de céréales, 20 de maïs et le reste en herbe). Ainsi, en 2011, l’éleveur acquiert une première mélangeuse d’occasion, de 14 m3, revendue cinq ans plus tard pour en acheter une mieux dimensionnée à la taille de l’élevage. Il choisit donc en 2016 un bol de 22 m3 avec 9 couteaux par toupie, pour gagner en temps de hachage. « J’ai adopté ce type de matériel car je travaille en rations fibreuses, y compris pour les veaux. » La mélangeuse est utilisée pour tout le cheptel (vaches, veaux et jeunes bovins). Une ration humide est distribuée aux vaches et taurillons.