Quand la « graine sacrée des Incas » devient express quinoa angevin

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 4 avril 2018 - Par Rédaction Réussir

Plante très ancienne d’Amérique du sud, le quinoa se cultive en Anjou et joue la modernité.

Il est originaire d’Amérique du sud où il est traditionnellement cultivé au Pérou et en Bolivie. Blanc, noir ou rouge, le quinoa s’est fait une place dans les nouvelles tendances alimentaires. Alors pourquoi ne pas essayer de le produire en France ? L’idée a germé et la petite graine a fait son apparition dans les champs du Maine-et-Loire en 2009. Aujourd’hui la filière est organisée et la plante est produite sur 1700 ha par 250 agriculteurs.

Le quinoa est devenu un produit moderne mettant en avant ses atouts goût, santé, éthique et écologie. Une start-up s’est même emparée de sa commercialisation. Quinola Mothergrain propose des pack Express pour consommateurs « locavors ». Complet à la méditerranéenne ou au Curcuma façon pilaf, l’un et l’autre sont prêts en 2 minutes pour accompagner les plats. Et pour ceux qui préfèrent cuisiner eux-mêmes, l’entreprise commercialise le pack Graines refermable.

Les Incas n’en reviendraient pas. Leur « graine sacrée » toujours aussi jeune, plus de 500 ans après. Merci le marketing et le packaging.

AgriGoodNews