La retraite des agriculteurs, l'engagement paysan d'Edouard Bergeon, Sam agriculteur indépendant, la taxation des terres et une baisse des engrais azotés : les 5 articles qu'il ne fallait pas rater cette semaine
Au cas où vous seriez passé à côté, voici les 5 articles qu'il ne fallait pas rater cette semaine. Petit retour sur l'actualité agricole et alimentaire.
Au cas où vous seriez passé à côté, voici les 5 articles qu'il ne fallait pas rater cette semaine. Petit retour sur l'actualité agricole et alimentaire.


1 - La retraite des agriculteurs basée sur les 25 meilleures années à partir de 2026
L’Assemblée nationale a voté ce 1er décembre à l’unanimité un texte permettant de calculer la retraite de base des chefs d’exploitations agricoles en tenant compte des 25 meilleures années et non plus de toute la carrière comme auparavant. La proposition de loi portée par le groupe LR prendra effet en 2026.

2 - Edouard Bergeon poursuit son engagement paysan à travers Cultive, un film et sa chaîne TV
Le réalisateur d’Au nom de la Terre reste très engagé en faveur du monde paysan, avec de nombreux projets en cours. Interview.

3 - Sam agriculteur indépendant, un « Michel Chevalet de l’agriculture » sur YouTube
Samuel Boucher souhaite redonner certaines bases techniques aux agriculteurs, du recul et de l’information pour les aider à être plus autonomes au quotidien dans leur métier. L’objectif est aussi de s’adresser à tous les citoyens, qu’ils soient du monde agricole ou non. Il est à la fois agriculteur et conseiller agricole indépendant. Il a créé sa chaîne YouTube « Sam, agriculteur indépendant » il y a un an.

4 - La forte taxation des terres agricoles encourage leur artificialisation en France
Les terres agricoles sont bien plus taxées en France que dans le reste de l’Europe, et les loyers de fermage sont plus faibles. Une combinaison favorable à l’artificialisation selon une étude de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité.

5 - Engrais : un décret fixe une baisse annuelle des émissions azotées agricoles
Un projet de décret définit la trajectoire de réduction des engrais azotés agricoles en France à l’horizon 2030.