Aller au contenu principal

Témoignages de consommateurs
[Coronavirus Covid- 19] « J’allais chez mon primeur, mais… »

Souvent bien placés pour le vente de fruits et légumes, en période d'épidémie de coronavirus et de confinement, les primeurs en boutique ne font pas forcément recette. Préférence pour des produits emballés, attentes supposées trop longues... les enseignes dites de proximité des GMS raflent souvent la mise...

« Chez mon primeur, les gens se servent et touchent les produits, en ce moment, je préfère acheter que des produits emballés », témoigne Véronique.
© Claire Tillier - FLD

Véronique, 48 ans, a abandonné son primeur le temps de la crise sanitaire. « Durant cette période, je préfère acheter la totalité de mes fruits et légumes emballés, justifie-t-elle. Chez le primeur où je vais habituellement, ils sont tous en vrac, les gens se servent et touchent donc beaucoup les produits. » Elle a donc opté pour acheter ses fruits et légumes au Super U, même si elle reconnaît que la qualité n’est pas du tout la même ! « En cette période, je préfère la sécurité », affirme-t-elle. À Toulouse, Cécile (49 ans avec 1 enfant de 9 ans) regrette la fermeture de sa primeur. « Elle est restée ouverte la première semaine de confinement, mais son conjoint étant particulièrement fragile, elle a ensuite fermé. »

Cécile opte alors pour un magasin de produits locaux « mais c’est très cher (j’ai acheté des asperges à 16€/kg vraiment pour faire plaisir à mon fils !) et la queue est trop longue. Finalement, le Spar à côté de chez moi a un petit rayon fruits et légumes bio bien fourni ».

Pascal, 32 ans, professeur à Paris, va, lui, au supermarché « car il y a trop de queue chez le primeur » même s’il y allait peu : « C’est cher et je n’ai pas forcément le réflexe ».

Lire aussi : « Témoignages : je veux mon marché ! »

[Témoignages] Ils ont changé leur consommation de fruits et légumes

 

Les plus lus

Des employés s'affairent à la récolte de salades dans une parcelle du Gaec Stéphan. A droite, Christian Stéphan, l'un des trois associés du Gaec Stéphan.
Maraîchage en Bretagne : « Comment j’ai réussi à fidéliser ma main-d’œuvre »

Christian Stéphan, producteur de salades, chou-fleur, et d’oignons avec son frère en Bretagne a réussi à recruter et…

<em class="placeholder">mildiou melon</em>
Melon : trois solutions alternatives contre le mildiou

Le mildiou est un problème croissant et récurrent en melon dans tous les bassins de production. Trois produits alternatifs et…

<em class="placeholder">Les dégâts en production sont restreints aux fruits et se caractérisent par de fortes décolorations et des déformations les rendant non commercialisables.</em>
Tomate : vigilance sur le virus ToBRFV

Dans un rapport, l’Anses recommande la vigilance vis-à-vis d’un virus de la tomate récemment apparu, le Tomato fruit blotch…

Sur les feuilles et les pétioles, Pestalotiopsis longisetula provoque de petites taches nécrotiques.
Fraise : le Pestalotiopsis est dans le plant

Pestalotiopsis est un champignon menaçant la culture de la fraise en provoquant des dégâts importants, dans toutes les…

<em class="placeholder">SudExpé vergers</em>
Pêche et abricot : l’évaluation variétale en bas-intrants phytosanitaires reste délicate

La station SudExpé à Saint-Gilles dans le Gard a lancé, dès 2018, un programme d’évaluation des variétés de pêches et abricots…

<em class="placeholder">De nombreuses entreprises développent depuis quelques années une activité de production locale de micropousses.</em>
Diversification : les micropousses portent de grandes ambitions

Elles font leur place sur le marché hexagonal et séduisent à la fois les restaurateurs et consommateurs avertis. Les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 96€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site filière Fruits & Légumes
Profitez de l’ensemble des cotations de la filière fruits & légumes
Consultez les revues Réussir Fruits & Légumes et FLD au format numérique, sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce aux newsletters de la filière fruits & légumes