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L'emploi en Cuma, un secteur en plein développement

La FDCuma tenait son assemblée générale mercredi 13 décembre à l'espace Jean Jaurès de Mende. Pour l'occasion, les membres de l'association ont abordé le thème de l'emploi dans les Cuma.

Serge Nurit, vice-président de la FDCuma 48, Frédéric Valette, trésorier de la FDCuma 48, Sylvain Chevalier, président de la FDCuma 48, Evelyne Guilhem, vice-présidente de la FRCuma Occitanie et Michel Fayet, secrétaire de la FDCuma 48.
Serge Nurit, vice-président de la FDCuma 48, Frédéric Valette, trésorier de la FDCuma 48, Sylvain Chevalier, président de la FDCuma 48, Evelyne Guilhem, vice-présidente de la FRCuma Occitanie et Michel Fayet, secrétaire de la FDCuma 48.
© Aurélie Pasquelin

On le sait, la Lozère affiche l'un des taux de renouvellement les plus forts de la région Occitanie. Pourtant, sur des exploitations de plus en plus grandes, le manque de main-d'oeuvre se fait ressentir sur le terrain. Forte de ce constat, la fédération des Cuma de Lozère organisait, mercredi 13 décembre, son assemblée générale autour du thème de l'emploi en Cuma. Pour en parler, les membres de l'association avaient invité Jean-Louis Solinhac, président de la Cuma Buzeins, dans l'Aveyron. « Nous avons embauché un salarié en CDI à plein temps en septembre 2014, témoigne l'Aveyronnais. Sur les vingt-deux adhérents que compte notre Cuma, nous étions quatre à être intéressés par le projet au début. Aujourd'hui nous sommes une dizaine à faire appel à ses services. » Un succès qui s'explique notamment par la diversité des tâches accomplies par le salarié.

60 % du temps sur les exploitations
Ce dernier outre ses missions de chauffeur pour le matériel de la Cuma est aussi mis à disposition sur les exploitations pour aider. « Dans la région, on compte plusieurs types de métiers au sein des Cuma, explique Évelyne Guilhem, vice-présidente de la FRCuma, invité pour l'assemblée générale. Il y a les traditionnels chauffeurs et mécaniciens mais on y trouve aussi des secrétaires, des aides pour la comptabilité et même parfois des directeurs de production. En outre, depuis 2016 le changement de réglementation permet de mettre à disposition le salarié sur les exploitations adhérentes. »

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1439, du 21 décembre 2017, en page 3.

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