Pulvérisateurs viticoles : les cinq points de vigilance
Olivier Bonnefond, gérant de Pulvécenter, le plus gros acteur dans le monde du contrôle pulvérisateur viticole, revient pour nous sur les principaux problèmes rencontrés.
Olivier Bonnefond, gérant de Pulvécenter, le plus gros acteur dans le monde du contrôle pulvérisateur viticole, revient pour nous sur les principaux problèmes rencontrés.
Autre évolution : depuis le 1er octobre 2021, le viticulteur n’ayant pas encore effectué sa contre-visite n’a pas le droit d’utiliser son matériel. Et au bout de quatre mois, il risque même une suspension du Certiphyto durant six mois. Ce contrôle n’est donc pas à prendre à la légère. Pour le préparer au mieux, voici par ordre d'importance les cinq problèmes principaux relevés par Pulvécenter.
Pour approfondir
voir plus loin
Pulvécenter a lancé un kit nommé Vintie. Il contient un colorant, un rouleau de 100 mètres de papier hydrosensible et des gants en nitrile. Pour 50 euros, on peut ainsi tester simplement et sur toute la hauteur de végétation l’efficacité de ses réglages. Si le résultat n’est pas satisfaisant, Olivier Bonnefond recommande de modifier un seul paramètre (pression, vitesse d’air, angle de diffusion, vitesse d’avancement, etc.), et de repasser dans les rangs.