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Terrena mise sur l’excellence pour ses agneaux

En 2021, le Groupe Terrena a vu ses résultats progresser pour la troisième année consécutive, avec cinq milliards de chiffre d’affaires et un résultat net de 12,5 millions d’euros.

Alain Le Floch, directeur général (à gauche) et Olivier Chaillou, président, restent confiants malgré le contexte actuel perturbé.
Alain Le Floch, directeur général (à gauche) et Olivier Chaillou, président, restent confiants malgré le contexte actuel perturbé.
© V. Bargain

L’année s’est bien passée pour à peu près toutes les filières. 67 500 agneaux ont été vendus en filières différenciées (marques Ter’Elevage et D’Anvial, IGP, AOP, bio et certification), soit 82 % du total d’agneaux commercialisés. Pour favoriser l’installation de nouveaux éleveurs, la coopérative propose un contrat sur trois ans, Cap Ovins, qui associe éleveur, abattoir et coopérative et permet des aides financières jusqu’à 30 euros par brebis et une garantie de prix minimum.

Le groupe, dans le cadre de sa stratégie Terrena 2030 qui vise à développer l’agriculture à impacts positifs, veut aussi accroître l’autonomie protéique des exploitations et des territoires en renforçant les synergies entre cultures et élevage, avec l’ambition de réduire de 50 % les protéines importées. L’année 2022 s’annonce toutefois plus compliquée que 2021. Frappé de plein fouet par la grippe aviaire, le groupe est aussi impacté par les difficultés d’approvisionnement et les hausses de prix liées à la crise Covid et désormais à la guerre en Ukraine. « Ce contexte perturbé a mis en lumière les enjeux de souveraineté alimentaire et d’autonomie énergétique, qui sont au cœur de Terrena 2030, a souligné Olivier Chaillou, président de Terrena. Il y aura des conséquences financières, mais le groupe n’est pas endetté et nos trajectoires restent inchangées. »

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