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Poscif
Le grand retour des brebis dans la plaine

Profiter des surfaces céréalières comme de potentielles zones de pâturage est une opportunité à saisir. les éleveurs ovins gagnent ainsi en marge de manœuvre sur leur stratégie fourragère.

Si les intérêts de faire pâturer les surfaces céréalières par les brebis sont aujourd’hui connus des éleveurs, les bienfaits pour les cultures le sont beaucoup moins. Les brebis sont de retour dans les plaines des zones de grandes cultures et avec elles apparaissent des avantages pour l’éleveur, qui accède à de nouveaux espaces de pâturage et pour le cultivateur qui bénéficie de l’action naturelle des ruminants.

L’étude Poscif a démontré les synergies possibles entre ces deux productions. Ce dossier livre un éclairage nouveau, de récents résultats d’étude à l’appui.

Au sommaire de ce dossier

Profiter des surfaces céréalières comme de potentielles zones de pâturage est une opportunité à saisir. les éleveurs ovins gagnent ainsi en marge de manœuvre sur leur stratégie fourragère.
Le grand retour des brebis dans la plaine
Si les intérêts de faire pâturer les surfaces céréalières par les brebis sont aujourd’hui connus des éleveurs, les bienfaits pour les cultures le sont
Les brebis détruisent 60 % des limaces sur les parcelles où elles pâturent.
Moins de charges avec le pâturage des couverts par les brebis
La brebis faisant office de broyeur, les principaux intérêts du pâturage des couverts végétaux pour le céréalier résident surtout dans la réduction
Le rendement des céréales est meilleur avec le pâturage des ovins
Le rendement des céréales est meilleur avec le pâturage des ovins
À condition qu’il soit réalisé au bon stade, le pâturage des céréales destinées à être récoltées est plutôt bénéfique pour la culture.
Les brebis sont aussi bien dehors que dedans
Les brebis sont aussi bien dehors que dedans
Le grand air de la plaine réussit plutôt bien aux brebis. Les notations réalisées sur 1 256 d’entre elles en début et fin de pâturage le démontrent.
Les colzas pâturés repartent mieux et sont moins attaqués par l'altise.
Un partenariat céréalier-éleveur hors normes
Cela fait quatre ans que Cédric Cormier fait pâturer ses couverts végétaux et luzernes par les brebis d’un éleveur voisin.
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