Semences
Velléités d’ouverture au sein du Gnis
L’interprofession des semences devrait s’élargir à de nouvelles organisations professionnelles et communique vers la société civile. C’est une des conséquences des Etats généraux de l’alimentation.

Après sa remise au ministère de l’agriculture et le débat public à l’occasion des Etats généraux de l’alimentation, le « Plan de filière semences et plants » se traduit par la création d’un comité des enjeux sociétaux au sein du Gnis, Groupement national interprofessionnel des semences et plants. « Ce comité a pour but d’éclairer le débat sur l’utilisation des semences et sur ce qui est fait dans nos entreprises semencières, pour répondre aux attentes de la société civile et des associations de consommateurs, a expliqué François Desprez, président du Gnis, en conférence de presse à Paris le 10 janvier. Le président de ce comité est connu mais nous n’en dévoilerons le nom qu’une fois ce comité concrètement constitué. Il comportera douze personnes et devrait être opérationnel d’ici quelques mois. »