Aller au contenu principal

SUIVI DES CULTURES
Première rentrée pour Céré’Obs

Depuis avril 2012, FranceAgriMer publie chaque semaine sur Internet des données sur les stades et l’état de cultures céréalières françaises.

Avec la volatilité plus que jamais installée sur le marché des céréales, les informations autour de l’état des cultures sont devenues un enjeu majeur dans la formation des prix. Pour fiabiliser les informations qui circulent à ce propos, FranceAgriMer a lancé Céré’Obs, un service de notation des cultures (blé tendre, blé dur, orge de printemps et d’hiver, maïs), cousin français du crop rating de l’USDA américain. Depuis le mois d’avril, l’office met en ligne chaque vendredi sur un site web des publications faisant le point sur le stade de développement et les conditions des cultures, qui vont de « très mauvaises » à « très bonnes ».


PHOTOGRAPHIE MOMENTANÉE

L’indicateur Céré’Obs cumule la part des cultures se situant en conditions « bonnes » et « très bonnes », correspondant respectivement à un état de croissance normal et à une situation avec une croissance forte et homogène sans facteur limitant. Les résultats, actuellement disponibles pour onze régions, s’appuient sur des notations réalisées majoritairement par des techniciens de chambres d’agriculture. La campagne qui débute sera donc la première pour laquelle Céré’Obs couvrira la totalité du cycle de développement des cultures.


FranceAgriMer souligne que chaque publication est une photographie du potentiel de rendement à un moment donné, mais que celui-ci peut évoluer. En 2011 par exemple, l’indicateur alors en phase de test s’était fortement dégradé au moment de la sécheresse printanière, avant de s’améliorer nettement grâce aux meilleures conditions de fin de cycle. Le site web offre la possibilité de consulter les données de façon graphique ou chiffrée par région et par cultures, avec des comparaisons historiques.

https://cereobs.franceagrimer.fr

Les plus lus

<em class="placeholder">Mathieu Etchegaray à gauche et Fanny Auclair, à droite, associés du Gaec Hachtoya à Domezain-Berraute</em>
« Je suis passée de conjointe collaboratrice à salariée agricole, avant de devenir associée, à mon installation dans les Pyrénées-Atlantiques »
Le conjoint ou concubin d’un chef d’exploitation peut adopter plusieurs statuts sociaux en fonction du temps consacré et de son…
<em class="placeholder">Pierre Coisnon, agriculteur et président de la société Les 3 Laboureurs, devant ses panneaux photovoltaïques.</em>
Agrivoltaïsme : « Les panneaux solaires installés sur mes grandes cultures vont alimenter mon usine de conditionnement de pommes de terre dans le Loiret »

La centrale agrivoltaïque « Pépite de Beauce » a vu le jour en septembre dernier sur l’exploitation de Pierre…

<em class="placeholder">Tracteur agricole effectuant un travail du sol</em>
Eure-et-Loir : « J’ai trouvé des solutions sur-mesure pour redresser ma trésorerie avec l’aide d’un conseiller »

Pour sortir des difficultés de trésorerie, il n’y a pas de solutions toutes faites. Témoignage en Eure-et-Loir de Pierre-Jean…

<em class="placeholder">Colza en pleine floraison. Traitement fongicide. </em>
Fongicides à floraison : de nouvelles interdictions à partir du 1er janvier 2026
La dérogation permettant l’usage des fongicides à floraison prendra fin au 1er janvier 2026. Seuls ceux disposant d’une…
<em class="placeholder">Chargement de 6000 tonnes d orge dans un bateau sur le terminal Senalia du port de Rouen, à destination de l&#039;Amérique du Sud. Transport maritime. Commerce des matières ...</em>
Prix des engrais et MACF : la Commission européenne propose des ajustements jugés insuffisants par les organisations agricoles

La Commission européenne va adopter trois règlements d’exécution pour « ajuster » le mécanisme d’…

<em class="placeholder">Alexis Deville, agriculteur à Saulces-Champenoises (Ardennes)&quot;Contre la création de ravines, deux fascines vivantes (saules) de 25 mètres de long ont été mises en place ...</em>
Érosion des sols : « J’ai divisé un bloc de 37 hectares en trois parcelles dans les Ardennes avec des cultures différentes pour limiter les pertes de terre »

Agriculteur à Saulces-Champenoises (Ardennes), Alexis Deville aménage ses parcelles en pente, de façon à faire disparaître les…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 96€/an
Liste à puce
Accédez à tous les articles du site Grandes Cultures
Consultez les revues Réussir Grandes Cultures au format numérique sur tous les supports
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter Grandes Cultures