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Les États généraux de l’alimentation en piste

Annoncés en juin par Emmanuel Macron, président de la République, les États généraux de l’alimentation ont commencé fin août.

La création et la répartition de la valeur ajoutée sont au cœur du premier chantier des Etats généraux de l'alimentation.
© CCO Domaine public

Au menu de la première partie des Etats généraux de l'alimentation : « la création et la répartition de valeur ajoutée », un premier chantier prévu jusqu’à fin septembre, décliné en sept ateliers associant toutes les parties prenantes, de l’agriculteur au consommateur. Il sera suivi début octobre par un second chantier portant sur « une alimentation saine, sûre durable et accessible à tous ».

Un atelier transversal consacré aux investissements, à l’accompagnement technique et à la recherche fera le pont entre les deux séquences tandis que, pour "enrichir la réflexion", une vaste consultation publique a été ouverte dès le 20 juillet, jour de lancement officiel de ces États généraux. Ceux-ci doivent au final servir à « établir une feuille de route nationale » pour le secteur, d'après le ministère.

Cet été, des interrogations subsistaient toutefois quant à l’efficacité du dispositif. Au moins parce que les orientations du grand plan d’investissement de 50 milliards d'euros, qui inclut cinq milliards sur cinq ans pour l’agriculture, devaient être présentées début septembre, soit très en amont de la clôture des États généraux de l'alimentation.

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