La pression retombe autour de T2 et HT2
T2 et HT2, ce ne sont pas les robots de la Guerre des étoiles, mais au coeur d’une bataille quand même. Au bout de six ans de négociations, les organisations représentant les producteurs en Europe ont réussi à obtenir de Bruxelles que ces deux mycotoxines ne fassent pas l’objet d’une réglementation, comme prévu initialement, mais de simples recommandations.
Ces contaminants font désormais l’objet d’une campagne de suivi pour l’avoine, espèce la plus concernée, l’orge, le maïs, le blé et le seigle.
La Commission européenne devrait recommander de ne pas dépasser les doses suivantes : 1000 microgrammes de T2 ou HT2 par kilogramme (ou ppb) d'avoine, 200 ppb d'orge et de maïs, et 100 ppb de blé, de seigle et autres céréales. Ces dosages sont mesurés sur les matières premières brutes. Ces recommandations s'appliqueront tant pour l'alimentation animale que pour l'alimentation humaine.
Ces contaminants font désormais l’objet d’une campagne de suivi pour l’avoine, espèce la plus concernée, l’orge, le maïs, le blé et le seigle.
La Commission européenne devrait recommander de ne pas dépasser les doses suivantes : 1000 microgrammes de T2 ou HT2 par kilogramme (ou ppb) d'avoine, 200 ppb d'orge et de maïs, et 100 ppb de blé, de seigle et autres céréales. Ces dosages sont mesurés sur les matières premières brutes. Ces recommandations s'appliqueront tant pour l'alimentation animale que pour l'alimentation humaine.