Ces marques qui s'emballent pour les producteurs



De plus en plus urbain, le consommateur perd de vue ses racines paysannes. Concrètement, il finit par oublier qu'une vache se cache derrière sa brique de lait ou que sans grains de blé, pas de brioche. Résultat, son anxiété par rapport à sa nourriture ne cesse de croître. Il faut lui « réapprendre » à comprendre comment sont produits ses aliments.
Ce besoin de « retour à la terre » incite les grandes marques à mettre en avant les producteurs sur leurs emballages et leurs sites internet.
Y compris lorsqu'il s'agit de céréaliers, une profession qui n'a pourtant pas toujours bonne presse auprès du grand public.
Dans ce dossier, vous trouverez de quoi mieux comprendre ces nouvelles tendances. Vous pourrez également lire les témoignages de trois producteurs engagés dans des démarches conduites par des marques, et qui, a priori, ne le regrettent pas.
Pour en savoir plus
Voir dossier Réussir Grandes Cultures d'avril 2015. RGC 290 p. 18 à 28.
Au sommaire
. p. 20 - Parler terrain pour fidéliser le consommateur.
. p. 22 - Dominique Jacquet et le contrat Ebly : "Un moyen de préserver la production".
. p. 24 - Alain Herbinet et la démarche Lu : "J'ai produit les biscuits que tu manges".
. p. 26 - Jerôme Puche et le programme Jeunes agriculteurs Mc Donalds : "On va jusqu'au produit fini".