Poire : un commerce encore très moyen
Les opérateurs se repositionnent sur les offres de Conférence et de Comice depuis la fin de la campagne de William’s (ou de son déclin important dans les régions les plus tardives).
La tendance demeure néanmoins mitigée : si les beaux calibres bénéficient d’une bonne mise en place, les petits fruits —en particulier pour la Conférence—, restent difficiles à vendre, en raison de la proportion importante de ces calibres dans l’offre, mais également de la concurrence pressante des offres du Benelux.
La poire française subit également plus largement la concurrence des produits d’importation comme la Rochas et l’Abate.
Arrivages à Rungis (S 42) : 465,5 t dont 165,2 t d’import (Semmaris)