Ile-de-France

Les fraises urbaines d’Agricool arrivent à Monoprix

article .paywall-content { display: none; } article .paywall .noscript { text-align: center; padding: 100px 10px 100px 10px; box-shadow: 0px 4px 4px rgba(0, 0, 0, 0.15); background: radial-gradient(circle at 50% 75%, rgba(240, 255, 255, 0.30) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 75% 15%, rgba(100, 149, 203, 0.60) 0%, transparent 60%), radial-gradient(circle at 10% 55%, rgba(44, 117, 255, 0.50) 0%, transparent 40%); max-width: 800px; margin: 10px; }

Javascript est désactivé

Javascript semble être désactivé. Cela bloque certaines fonctionnalités du site.

Pour activer Javascript, merci de cliquer ici

Publié le 1 mars 2018 - Par Philippe Gautier

C’est sans conteste une première : depuis le 17 février, les clients du Monoprix d’Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) peuvent acheter des fraises d’Agricool, une start-up francilienne qui les fait pousser dans d’anciens conteneurs maritimes reconvertis (culture hors-sol, LED…) et baptisés “Cooltainer” (cf. FLD Mag mars 2017). Les fruits sont cueillis le matin pour être vendus dans la journée. Projet lancé en 2015 par deux fils d’agriculteurs, la start-up dispose aujourd’hui de quatre “Cooltainers” dans la capitale et la proche banlieue : parc de Bercy (XIIe), Station F (XIIIe), Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et Halle Flachat à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Chacun d’entre eux peut produite 7 t de fraises, soit l’équivalent de 28 000 barquettes de 250 g par an. La production annuelle potentielle se situe à environ 112 000 barquettes. Dans les premiers temps, les ventes se sont effectuées à travers les réseaux sociaux. Aujourd’hui, Agricool désire tester en parallèle plusieurs modes de vente : en magasin, en triporteur, en entreprise…