La sharka divise encore
Bruno Dupont a rappelé les raisons pour lesquelles la FNPF n’a pas signé la charte sharka. « Les efforts publics sont restés insuffisants et inéquitables entre les zones touchées, a précisé le président. […] Aujourd’hui, alors que seul l’arrachage, précoce des arbres sharkés permet de lutter contre la maladie, il ne se pratique pas partout à cause d’un niveau d’indemnisation trop faible. » Les calculs de la FNPF sont simples : à raison d’une indemnisation de 12 000 E/ha, il faut 5 ME pour stopper la maladie.