Jus de citron
Cette semaine, un bon mot entendu en réaction à l'étonnante décision de Claire David, vice-présidente du tribunal de grande instance de Paris, qui a décidé dans son ordonnance du 10 novembre dernier (cf. fld hebdo du 18 novembre), que le titre “Pommes empoisonnées” du rapport Greenpeace n'avait pas lieu d'être changé, arguant que « si les sols et l'eau sont contaminés, les produits agricoles qui poussent sur ces sols à l'aide de cette eau le sont également ». La petite phrase nous vient de Josselin Saint-Raymond, responsable des relations filières à l'ANPP : « Ce n'est pas parce que l'on met du fumier dans les champs que les produits sentent la m… » A merditer…