Jus de citron
On connaissait la danse de la pluie : les Indiens ou autres peuples organisaient des danses rythmées par les tam-tams et le ciel ouvrait ses vannes généreuses, arrosant la prairie de la pluie bienfaitrice. La revue Nature & Progrès nous ouvre d’autres horizons. Selon un article paru dans le numéro de juillet-août, certains bruits ou sons permettent de soutenir la croissance des plantes et d’augmenter leur résistance à la sécheresse. Des chercheurs auraient même identifié une protéine, la TAS 14, dont la “mélodie” ressemblerait fort à des rythmes de tam-tams africains. Tout cela à l’air d’un canular, et pourtant cela paraît très sérieux. Des technologies sont testées et en voie d’être commercialisées. Tant mieux si ça marche: mais la danse de la pluie, sans pluie et sans danse, c’est quand même moins poétique.