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Derniers échos du salon :

• C’est Benoist Leforestier, président du CNIPT, qui s’est exprimé au nom des filières pommes de terre, fleurs et plantes et fruits et légumes. Il a parlé au nom de filières “qui occupent peu d’espace, mais beaucoup de main-d’œuvre, et reçoivent peu d’aides, mais créent de la valeur ajoutée”. Il a dénoncé la “nette réduction des moyens d’intervention de l’office, ce qui n’est pas de bon augure, et un manque de trésorerie et donc des retards de paiements qui mettent nos organisations en grandes difficultés”.

• Les sections nationales tomates et concombres ont lancé, le 1er mars, leur campagne en direct de leur stand au salon de l’agriculture. Les présidents des deux sections, Pierre Diot et Jean-Pierre Lanoë, ont insisté sur le fait que les deux légumes étaient déjà présents dans les organisations de producteurs. Un message entendu par les distributeurs qui participaient à ce lancement de campagne.

• L’Odéadom met la banane et la canne à l’honneur. Le stand de l’office agricole de l’Outre-Mer était essentiellement consacré “aux deux grandes filières de l’Outre-Mer”. Son directeur, Paul Luu, a rappelé que 2006 était une année importante de réformes. Pour le volet interne de l’OCM banane, la Commission a commencé une “très large” consultation. Ses propositions sont attendues pour juin 2006.

Par ailleurs, l’office suit très attentivement l’évolution du marché de la banane communautaire.

“Si les prix avaient jusqu’à présent été maintenus à un bon niveau, explique Paul Luu, ils commencent à fléchir en ce début du mois de mars marqué par l’arrivée en masse de la banane équatorienne”.

• Bilan : 20 % de visiteurs en moins.

On s’en doutait, et les chiffres sont tombés dimanche soir. La fréquentation du salon de l’agriculture est en baisse de 20 % avec un peu plus de 500 000 visiteurs contre 630 000 en 2005. Malgré l’absence de volailles, l’hypothèse de la psychose due à la grippe aviaire semble se confirmer. Les organisateurs déplorent un écroulement de 60 % des 6-12 ans, comme si les parents avaient voulu les mettre à l’abri d’un risque imaginaire. Autre indication, la fréquentation a chuté sur la première moitié de la semaine, avec notamment un mercredi catastrophique, pour retrouver ensuite des chiffres normaux. Comme si en cours de route la communication sur l’absence de danger avait été entendue. Il reste que des modifications sont à envisager. Surtout en termes de coût, autant pour les visiteurs que pour les exposants qui dénoncent année après année la cherté de la manifestation.

Rédaction Réussir

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