« Des poules au milieu des chèvres »

Emanuele La Barbera, éleveur à Sugano di Orvieto (Italie).
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A. Rabittiis

Grâce aux poules et aux poussins, le nombre de mouches a considérablement été réduit dans les chèvreries.
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A. Rabittiis
« Nous avons placé une quarantaine de poules pondeuses dans nos deux chèvreries pour réduire la présence des insectes, des larves et des parasites. Nos 110 chèvres, conduites en agriculture biologique, ne peuvent pas être traitées avec des produits chimiques de synthèse. Vétérinaire de formation, j’ai d’abord tenté l’expérience avec quelques poules. Ces poules noires et leurs poussins sont des prédateurs naturels des parasites qui affectent les chèvres. Au bout de quelque temps, l’impact des parasites sur la santé des chèvres a été réduit de manière significative. Les poussins surtout mangent les larves de mouches qui sont beaucoup moins présentes près des chèvreries ou dans la salle de traite.