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L’innovation est-elle suffisante pour l’attractivité du métier d’éleveur ?

Comment mettre les innovations au service des conditions de travail ? C’était l’enjeu de la table ronde qui s’est tenue sur l’« Espace pour demain » au Space à Rennes (35).

L’« Espace pour demain » est pensé pour répondre à une problématique d’actualité. Cette année, la plateforme revendique un choix en prise direct avec les attentes des éleveurs, tant sur le confort que sur l’attractivité du métier.
L’« Espace pour demain » est pensé pour répondre à une problématique d’actualité. Cette année, la plateforme revendique un choix en prise direct avec les attentes des éleveurs, tant sur le confort que sur l’attractivité du métier.
© C. Delisle

Après avoir abordé de nombreuses thématiques sur l’« Espace pour demain », les élus des chambres d’agriculture de Bretagne avec l’appui du Space ont souhaité mettre à l’honneur cette année sur la plateforme de recherche et développement l’innovation au service des conditions de travail.
« Cette problématique est de plus en plus prise en compte par la profession. Elle est en prise directe avec les attentes des éleveurs, tant sur le confort de travail que sur l’attractivité du métier. Nos enfants, nos salariés sont-ils prêts à travailler dans les mêmes conditions que nous ? J’en doute. Le monde bouge et les agriculteurs avancent », remarque André Sergent, agriculteur dans le Finistère et président de l’« Espace pour demain », avant de poursuivre « une étude Ifop de 2013 révèle que l’agriculture se trouve en bas de l’échelle concernant l’attractivité des métiers. Ce constat n’est pas normal ! Il faut trouver des solutions ! Le temps, la pénibilité et la sécurité au travail sont au cœur des réflexions à conduire sur nos métiers de la production agricole. »
Les structures d’exploitation se sont considérablement agrandies en vingt ans, mais souvent, leur organisation n’a pas suivi la production. Ainsi, les conditions de travail se sont dégradées.

 

 

Suite de l'article à lire dans le Réveil Lozère n°1478, du 4 octobre 2018, en page 12.

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