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PAC
« Aller au-delà d’une seule politique de soutiens »

Dans le cadre de son cycle de séminaires, Vetagrosup en lien avec la société française d’économie rurale a organisé un temps fort sur la Politique agricole commune, dont la nouvelle réforme a été analysée en profondeur.

© La Creuse agricole et rurale

Depuis le 12 octobre dernier, date à laquelle la Commission européenne a dévoilé ses propositions pour la PAC 2014-2020, aux quatre coins de la France, les débats vont bon train. Preuve que cette politique plutôt complexe extérieurement, recèle intérieurement des enjeux fondamentaux.
Bernard Bourget, ingénieur général honoraire des Ponts, des eaux et des forêts et Thierry Boulleau, ingénieur au Sidam* en sont convaincus. Devant un auditoire d’élèves, de professionnels mais aussi d’agriculteurs, les deux hommes ont expliqué, vendredi dernier, avec énergie, en quoi la PAC était stratégique, en particulier pour l’agriculture du Massif central. Ils ont décortiqué chacune des propositions de la Commission pour que chacun, comprenne mieux leur portée.
Les plus et les moins
Même si la réflexion sur la PAC ne fait que commencer, le Sidam a déjà mené en collaboration avec les responsables professionnels, un travail d’expertise, permettant d’évaluer les points positifs et négatifs de la réforme.
La proposition de budget est, selon Thierry Boulleau, tout à fait acceptable : « après rééquilibrage, le plafond de la France oscillerait autour de 7,6 milliards d’euros annuels entre 2014 et 2019. C’est tout à fait honorable quand on se souvient des velléités de baisse de budget qui existaient il y a encore deux ans ». Le Massif central se retrouve dans l’architecture proposée pour les soutiens. Si tant est toutefois que le paiement de base soit harmonisé rapidement, de manière nationale et qu’il prenne en compte les actifs. « Le niveau de DPU dans nos régions est de l’ordre de 200 euros par hectare, contre 280 euros en moyenne en France », explique Thierry Boulleau. L’harmonisation est donc un plus.

[...]

La suite est à lire dans la Creuse agricole et rurale du 16 décembre 2011.

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