Améliorer la qualité de sa laine en quatre étapes
Même s’il est difficile de valoriser la laine en ce moment, voici quatre conseils des techniciens ovins du Sud-Est pour préserver les qualités de ce noble produit.

La laine fait partie des produits des exploitations ovines. Aujourd’hui, sa participation au résultat économique de l’exploitation est faible voire considérée une charge. Sa commercialisation est souvent aléatoire, le contexte sanitaire n’aidant pas. Néanmoins, les éleveurs effectuant un minimum de travail dans de bonnes conditions lors de la tonte ont moins de mal à commercialiser leur laine pour une charge de travail équivalente lors de la tonte. Voici quelques règles simples qui permettent de mieux tirer son épingle du jeu.
Préparer les brebis
Il faut d’abord préparer des brebis pour une laine propre, c’est-à-dire qu’il faut éviter au maximum de salir la laine par de la paille, du foin, de la peinture… Si possible, on rentrera les brebis la veille afin d’éviter la rosée matinale, pour qu’elles soient à jeun et qu’elles transpirent.