Biosécurité : « Nous avons des parcs de quarantaine »
À la SCEA Blanche Bannière, dans le Nord, pour éviter d’introduire des maladies via l’achat d’animaux, les éleveurs ont investi dans des parcs de quarantaine.
À la SCEA Blanche Bannière, dans le Nord, pour éviter d’introduire des maladies via l’achat d’animaux, les éleveurs ont investi dans des parcs de quarantaine.

Le portillon peut se rabattre pour distribuer l'alimentation plus facilement, et pour nettoyer devant les cases
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F. Leroy

Franck Leroy, un des associés de la SCEA Blanche Bannière dans le Nord. « Aujourd'hui quand nous achetons des animaux, nous demandons des analyses pour l'IBR, la BVD et la paratuberculose. »
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F. Leroy

Les murs du parc de quarantaine et un portillon plein empêchent tout contact avec le reste du troupeau, même quand ils sont à l'auge.
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F. Leroy

Le portillon peut se rabattre pour distribuer l'alimentation plus facilement, et pour nettoyer devant les cases
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F. Leroy

Franck Leroy, un des associés de la SCEA Blanche Bannière dans le Nord. « Aujourd'hui quand nous achetons des animaux, nous demandons des analyses pour l'IBR, la BVD et la paratuberculose. »
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F. Leroy

Les murs du parc de quarantaine et un portillon plein empêchent tout contact avec le reste du troupeau, même quand ils sont à l'auge.
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F. Leroy

Le portillon peut se rabattre pour distribuer l'alimentation plus facilement, et pour nettoyer devant les cases
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F. Leroy