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"Le repousse-fourrage me fait économiser un an de travail jusqu'à la retraite !"

Fabien Christophe du Gaec du Pauvre homme, en Moselle ne regrette pas d'avoir investi dans un repousse-fourrage automatique. Il nous explique pourquoi.

Fabien Christophe du Gaec du Pauvre homme, en Moselle. "Le repousse fourrage, nous l'amortissons chaque jour !"
Fabien Christophe du Gaec du Pauvre homme, en Moselle. "Le repousse fourrage, nous l'amortissons chaque jour !"
© E. Bignon

"Le repousse-fourrage automatique, on dit souvent que c’est cher... Mais j’ai adopté un autre raisonnement", témoigne Fabien Christoph, du Gaec du Pauvre homme, à Hattigny en Moselle. Il a fait un calcul simple : économiser 20 minutes par jour à repousser le fourrage représente 120 heures de travail par an, soit deux semaines par an (à raison de 60 h de travail hebdomadaire). Sur les 25 années qu’il me reste à travailler, ce temps équivaudrait à une année de travail ! "Je préfère clairement investir mon temps dans autre chose et me préserver physiquement… Sans parler du gain technique permis par cet équipement, notamment en rapprochant le fourrage la nuit. Depuis que nous l'avons, nous ne trouvons plus le cordon de fourrage inaccessible aux vaches le matin." À méditer !

Le Gaec compte 180 vaches traites.
Le Gaec compte 180 vaches traites. © E. Bignon

 

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